mardi 9 octobre 2007

BALI : UN BON TOURISTE EST UN TOURISTE PLUME


On est à Baliiiiiiiiiiii !!!!!!! Ca, c'était ma première réaction quasi hystérique quand on est arrivés à l'aéroport. Mais finalement, j'ai pas mal déchanté : Bali, c'est mythique, donc c'est l'île la plus touristique au monde, avec tous les dérapages que le tourisme engendre. En gros, nous avons vécu 3 étapes à Bali.

1ere étape : Bali, c'est sublime

La nature est à la fois sauvage et maitrisée, les rizières (en terrasse) époustouflantes, il y a des fleurs partout ; les femmes sont belles, gracieuses, leurs vêtements sont raffinés ; il y a de l'art à profusion et tous les balinais y sont sensibles parce qu'ils peignent, sculptent, dansent, font de la musique depuis qu'ils sont tout petits... Bref, Bali surpasse sa réputation. Au début, j'ai ressenti de vraies émotions, comme par exemple au temple GOA GODJA où il y avait une cérémonie d'une semaine pour honorer l'arbre du temple qui commençait à faire ses premières fleurs de l'année... moi, ça m'a beaucoup touché qu'on fasse une cérémonie aussi longue juste pour un arbre qui bourgeonne. Et puis la musique (le GAMELAN, un espèce d'orchestre de xylophones au son feutré) m'a carrément coupé le souffle, on aurait dit une musique de film, simple et douce. Et puis partout dans les villes, il y a des statues des dieux taillées dans de la pierre noire, toutes très raffinées. Bref, j'étais sur un petit nuage. Je sentais bien qu'on nous sollicitait souvent, qu'on nous poussait à la consommation, mais bon, la beauté de l'île me permettait de faire complètement abstraction. Par contre, Yves commençait à devenir sérieusement nerveux...

2ème étape : les balinais sont tous des hypocrites

Là, ça a été une étape carrément crispante. La première étape de fascination totale étant passée, j'ai commencé à me rendre compte que tout le temps, c'est-à-dire tous les 10 mètres, on nous propose d'acheter quelque chose. Il y a soit le harcèlement des chauffeurs de taxi qui un a un (et même quand ils sont les uns à côté des autres) nous proposent de faire une course ; quand on arrive avec nos gros sacs à dos les rabatteurs se ruent sur nous pour nous proposer une guest house, et d'une manière limite agressive ; dès qu'on jette un œil sur un magasin, la vendeuse s'affole autour de nous et nous met un truc dans les mains... Bon, ce genre de trucs, passe encore, on dit non gentiment et puis c'est tout (au début, c'est avec un grand sourire, mais à la fin de la journée, ca devient un NON ! bien sec et bien crispé)... Mais là où ça devient carrément malsain, c'est quand un balinais vient nous voir en faisant mine de s'intéresser à nous (comment tu t'appelles, tu viens d'où, comment tu trouves Bali etc)... appâtés par le contact humain, on se laisse prendre à la gentillesse apparente... puis on s'aperçoit qu'ils ont quelque chose à nous vendre ("je suis un artiste, tu veux voir mes peintures ? Justement, je les ai avec moi") et puis quand on dit gentiment non, ils s'en vont furieux, en nous faisant bien comprendre qu'on aurait pu leur dire plus tôt qu'on ne voulait rien acheter, parce que là, on leur fait juste perdre leur temps. Dans les musts : le joli dépliant "découvrez Bali avec la carte VISA"' dispo dans toutes chambres d'hôtel un peu classes, ou encore, dans les temples, des personnes qui au début viennent nous aider à mettre notre SARONG parce qu'il est toujours mal mis, puis ils commencent à nous raconter l'histoire du temple et puis tout gentiment, ils s'arrêtent "si tu veux en savoir plus, donne moi de l'argent". Et dans tout ca, impossible d'avoir un contact désintéressé avec un balinais. Bref, grosse déception. Comment un peuple avec une culture aussi raffinée peut il être aussi vénal ?

3ème étape ; on se détend et on réfléchit

Le tout, c'est de comprendre comment on en est arrivé là... parce qu'un séjour où on se sent pris pour un dollar sur patte, c'est juste pas possible. La première chose à bien comprendre, c'est que si Bali semble une île luxueuse (bars branchouilles, piscines magnifiques dans toutes les guest houses), c'est un luxe qui ne s'adresse qu'aux touristes. On ne verra jamais un balinais dans un restau par exemple, pour la simple et bonne raison qu'ils n'en ont pas les moyens. Toute cette frustration crée un climat de jalousie. Il n'y a qu'à se balader dans les petits villages dans l'arrière pays, où les paysans vivent sans eau ni électricité pour s'en rendre compte. Mais cette réalité là, on ne s'en rend pas compte quand on est à Kuta ou à Ubud, ou quand on se balade à moto sans s'arrêter.

2ème chose, Bali est envahie par les touristes (et encore, on était en saison creuse, je n'ose même pas imaginer ce que ça doit être en juillet août!) et un touriste en vacances, il est là pour se faire plaisir... il ne tient pas compte du reste. On a vu de parfaits connards sauter sur de jolies musiciennes juste pour faire des photos avec elles, comme si les balinais n'étaient qu'un simple élément de décor... (Ca nous a rendu fous, ils ne sont même pas restés pour écouter la musique !)

3ème chose : les balinais ont beaucoup soufferts de la désertion des touristes suite aux attentats de 2002-2005 dans les boites de nuit de Kuta. Certains ont dû vendre tout ce qu'ils possédaient pour joindre les deux bouts et les personnes qui ne vivaient que du tourisme se sont retrouvés sans rien. Alors avec tout ça, on comprend mieux que certains balinais espèrent refaire fortune rapidement, et pour ça, il faut tout simplement nous pousser à la consommation.

Voyant bien que nous n'arrivions pas, à nous deux, à instaurer de rapports plus équilibrés avec les balinais, nous avons opté pour nous éloigner des endroits touristiques (c'est moins spectaculaire, mais beaucoup plus enrichissant), se lever tôt le matin, comme les balinais, vers 6h du mat (peu de touristes autour de nous, une lumière sublime, de vraies ambiances asiatiques), manger toujours dans le même petit restau au lieu de vouloir tous les tester : et là, on commence à passer de vrais bons moments. Prendre le BEMO par exemple (mini bus local pas très pratique parce qu'il faut faire plein de changements pour arriver à destination) nous a permis de voir le chauffeur s'arrêter au bord de la route pour que son véhicule soit béni, histoire de s'assurer un bonne journée.

Alors peut être qu'on n'a pas vu les endroits ''incontournables'', mais au moins, ça nous a permis de sentir un peut plus l'atmosphère de l'ile.

SUMATRA

Yves avait très envie d'écrire sur Sumatra.... le soucis, c'est qu' il est un peu lent au démarrage... alors, patience !

Bon ben je me lance, il me faut du temps pour écrire, je n'ai pas la plume facile et le clavier QWERTY me fout la nausée (on a d'ailleurs abandonné l'idée de faire ces maudits accents face aux manipulations fastidieuses à réaliser). Il m'arrive souvent d'écrire des couplets de rap, je ne sais pas quel est le plus difficile entre habiller une instrumentale et remplir une page noire mais je sais que dans le rap il faut du rythme et de la rime, le tout dans un temps limité. Ici je ne tiendrai rigueur que du rythme. Ce qui nous pousse à écrire dans le rap, outre la satisfaction de l'expression artistique, c’est l'absurdité des choses qui nous entourent car fort est de constater que tout ne va pas pour le mieux et que nos orientations en générale ne nous poussent pas à l'optimisme ! C'est d'ailleurs ces dérégulations qui constituent le principal moteur de notre inspiration. (J'ai essayé de raper sur de la musique traditionnelle batak au fin fond de la belle et tremblante Sumatra mais ça ne colle pas)! Ici c'est différent, on parle du voyage et à vrai dire, vous l'aurez d'ailleurs certainement constaté, tout se passe bien, y'a pas à s'plaindre comme dirait l'autre... on étale juste notre bonheur sur la toile (ce qui peut paraitre cruel). En quelque sorte on écrit un roman dans lequel nous sommes les héros, une sorte de pur ego-trip car après tout le voyage c'est nous, c'est elle, c'est moi... bref !

Je vais donc faire mon petit couplet sur Sumatra, qui constitue pour nous le vrai commencement du voyage. La Malaisie c'était plutôt les vacances entre copains et ce n'est pas avec ce club-mediste de Fab qu'on aurait pu sortir des sentiers battus (ça Fab, c'était ma petite vengeance à la suite de ton commentaire à propos de mes fautes d'ortaugraffe, ah ah). Plus sérieusement, disons que Sumatra est simplement plus dépaysante, le choc culturel est plus grand, les repères s'évanouissent. La transition est rapide. Nous avons pris l'avion pour Medan depuis KL, légèrement angoissé depuis que nous avons appris que les compagnies aériennes indonésiennes étaient toutes black-listées. En vol nous traversons une zone turbulente, les éclairs viennent caresser nos ailes, un homme à côté de nous effectue quelques gestes de tai-chi pour se calmer - la tension est palpable. Nous arrivons en pleine nuit, un rideau de pluie nous accueille. Nous ne passons qu'une seule nuit à Medan, en plein Ramadhan, à 50 mètres de l'une des 2 plus grandes mosquées d'Indonésie (le plus grand pays musulman du monde), dans une ville dont le nom signifie "champ de bataille"... autant dire que la nuit a été courte. Nous partons le matin même vers le Sud et ses lacs de montagne nés d'éruption volcanique.

L'île de Sumatra est immense, belle et sauvage. Elle vit, elle tremble pour nous (nous y avons notre lot quotidien de tremblements de terre) et nous tremblons pour elle tellement elle semble fragile. Cette île a opéré chez nous un changement dans notre manière de voyager. Au début on s'accroche à nos habitudes, on bataille dur dans nos petites têtes, on s'énerve, on ne comprend rien, on aimerait bien mettre de l'ordre dans ce foutu bordel et puis petit à petit on s'y fait, on y prend gout, on se laisse vivre.... Ah ce voyage, il m'en a fallu du temps pour que je le sente mais ca y est je suis dedans !

L'anglais devient inutile, il est bien plus pratique d'apprendre le bahasa indonésien (qui est à ce propos très semblable au malais puisque tous deux sont la variation d'une même langue, la bahasa malayu, pratiquée des le VIIe siecle dans l'archipel). On baragouine quelques mots, ça passe aisément et le contact est d'autant plus chaleureux. Le problème avec Sumatra c'est qu'il existe une multitude de peuples et autant de dialectes.

Le coût de la vie est très fluctuant, les prix varient sans cesse mais dans une fourchette qui reste relativement petite. Nous occidentaux sommes rapidement millionnaires en Indonésie, le prix d'une même denrée peut varier de plusieurs dizaines de milliers de rupiahs, il ne faut pas plus s'en inquiéter (on achète 13 000 rupiahs avec 1 euro). Tout se négocie sauf l'essence. La négociation nous pose un sérieux problème de conscience surtout quand il s'agit de quelques dizaines de centimes d'euros mais ici c'est l'affaire de tous, pas seulement des touristes. Et puis cela rend la relation commerciale plus humaine.

Le temps est obsolète, mieux vaut ne pas avoir de montre... Pour aller de Prapat à Bukkitingi, après un retard de 2 ou 3 heures au départ, le bus a du s'arrêter en pleine nuit au milieu de nulle part. Les yeux gonflés et les os malmenés nous sommes descendus, comme tout le monde. Le bus se trouvait au bas d'une montée vertigineuse sur une route ou plutôt un chemin couvert de gros rochers et de trous béants. Le bus avait du prendre un itinéraire bis étant donné que la route principale avait été détruites par un tremblement de terre une semaine précédant notre arrivée. Le bus a du être tiré par un câble, puis comme si de rien n'était nous sommes repartis. Le trajet a duré 17 heures. Les distances sont longues, Sumatra est la 4eme plus grande île du monde. On s'enivre des paysages, des palmeraies et des cocoteraies à perte de vue, des rizières en escaliers désorientés que l'homme a bâti mais que la nature a corrigé. Et ce vert -quel vert- de quoi faire frétiller mes rétines. Je ne pensais pas que la chlorophylle pouvait être en ce point aussi réconfortante et apaisante. N'en déplaise au monde cathodique, cette couleur créé une sorte de bien-être qu'il est difficile d'expliquer (ce bien-être fait peut-être de nous de faibles consommateurs ???). Sumatra, terre fertile, est couverte de volcans et de montagnes qui renferment de magnifiques lacs, des cascades, des sources d'eaux chaudes sulfurées sorties tout droit des entrailles de la terre. Nous croisons des villes, grouillantes et fiévreuses qui baignent dans un ballet incessant de motos bruyantes et de gens affairés, le tout dans un rytme effréné - des endroits où les gens vivent à l'extérieur. Et puis parfois ce sont des villages où il semble que le temps se soit arrêté. Il y règne une atmosphère très douce ou chaque chose a sa place, ou chacun vaque à ses occupations.

Nous avons décidé d'emprunter la voie classique Medan-Bukkitingi-Prapang mais nous n'y avons finalement croisé que peu de touristes. Ceci ajoute d'ailleurs au charme de l'île. Les tremblements de terre, les tsunami et les attentats de Bali ont eu raison des touristes qui venaient naguère en nombre à Sumatra. Des vestiges du tourisme triomphant subsistent par ci par là : des hôtels défraichis, abandonnés, des magasins d'artisanat (batik, sculpture sur bois et autres peintures) vides. Heureusement, les habitants ont su rebondir et vivent désormais de la culture de riz, du caoutchouc, de cannelle, d'huile de palme, de café et bien d'autres. Nous ne sommes plus leur gagne pain et c'est pas plus mal, les rapports sont plus sains. Nous avons tout de même croisé quelques voyageurs comme cet irlandais, la quarantaine passée, tres bavard mais bien drôle qui est parti depuis Istanbul, a traversé l'Iran puis le Pakistan et compte se rendre ainsi jusqu'en Australie sans jamais prendre l'avion... ou cet anglais, ancien croupier dans les casinos des Caraïbes, la cinquantaine, fraichement converti à l'Islam chiite, qui a passé des semaines dans les madrasas au Yémen et en Malaisie. Il pratique un Islam mystique (soufisme) et il médite souvent. Bref de ces voyageurs qui vous font voyager par les récits et autres anecdotes de voyage qu'ils vous content le soir une fois le soleil couché, ça nous fait partir un peu plus loin encore...

Bien à vous.

AU PROGRAMME


Je vous avais promis avant de partir de vous faire un petit récap' sur les endroits où on pensait aller... Alors voilà, mais bon, le but du jeu, c'est d'être libres alors ça risque de ne pas être ça du tout à la fin !

Novembre : Vietnam

Décembre : Chine

Mi-janvier : Birmanie (ne vous inquiétez pas, on suit à fond l'actu sur la Révolution Safran... Si ca craint trop, on zappera ! Au pire, ce sera toujours l'occasion d'un prochain voyage !)

Février : Népal

Mars : Inde

Début avril : Fidji

Mi avril : Chili ou Argentine (à priori, plutôt Argentine)

Juin : Bolivie - Macchu Picchu (Pérou)

13 juillet 2008 : retour à la maison !

Sur la route des vacances se dit-on au debut. Sauf que la route n'en finit plus, elle serpente, s'allonge au point de ne plus en voir le bout...il n'y a pas de bout d'ailleurs, seulement des etapes et c'est tant mieux. S'il y avait un bout ce serait la France (ce serait donc en France les vacances ??), la France qui est aussi notre point de depart, oulala je tourne en rond la...Les etapes ne sont pas vraiment fixees a l'avance ni meme les durees de chacunes d'elles. On a bien essaye au debut de programmer un tant soit peu notre voyage mais il nous malmene, il n'est jamais ce a quoi on s'attendait...nous qui pensions le dompter finalement c'est lui qui se joue de nous.

LA MALAISIE SI CA VOUS TENTE ...

BIEN POUR

Les vacances, faire du sport, se détendre sur les plages et observer la nature sauvage.

PROBLEME

Les moustiques (partout, de jour comme de nuit... et c'est un vrai problème : d'habitude, je ne me fais jamais piquer, mais là, ça virait carrément au harcèlement !)

Peu de monuments à visiter

ADMINISTRATIF

- VISA gratuit pour les français valable 3 mois, on l'obtient en arrivant dans le pays. Si on dépassé ces 3 mois, on peut toujours faire un saut en Thaïlande ou à Singapour (où les VISAS sont gratuits aussi) puis revenir en Malaisie à nouveau pour 3 mois.

- Régime politique : démocratie laïque, fédération de sultanats. Liberté dans les medias de plus en plus respectée

- Economie : la Malaisie a été fortement touchée par la crise de 1997 qui a touché les pays d'Asie du sud est, mais c'est un pays globalement riche et développé.

SANTE

- Pas de vaccins obligatoires

- paludisme et dengue

- les hôpitaux sont très fiables

CLIMAT

En aout : il fait chaud et très humide (plus de 90 % de taux d'humidité parfois) et de temps en temps, des averses qui durent presque une journée (parfait quand on a envie de finir son bouquin)

MONEY MONEY MONEY

- Taux de change : 1E = environ 5RM (Ringgit malais). Donc, on divise tous les prix par 5 ou, plus facile encore, on divise par 10 et on multiplie par 2

- Logements : on s'attendait à beaucoup moins cher : en gros, 40 RM à KL et dans les îles, sinon, 20 RM. On trouve aussi des dortoirs à 10-15 RM.

- Bouffe : à KL -> 20-25 RM, sur les iles -> 15-20 RM, dans les night market et les Hawkers (échoppes dans la rue) -> 5-10 RM.

En Malaisie, les prix sont fixes et les mêmes pour tout le monde, malais comme touristes. Donc ici, on ne négocie pas les prix... je dirais même que les malais semblent vexés quand on tente de négocier

TRANSPORTS

- Les routes sont parfaites, pas de nids de poule et elles sillonnent tout le pays

- les bus sont nickels, à part peut être dans le nord où ils font parfois un peu peur (globalement, le sud est plus riche que le nord)

- 2 lignes de chemin de fer vont du nord au sud du pays. On ne les a pas pris mais il parait que la ligne qui passe à travers la jungle, au centre du pays ("Jungle Train") est sublime. Actuellement, le gouvernement veut développer son réseau ferré, il y aura donc surement plus de lignes dans les années à venir.

LANGUE

Anglais partout, malais, mandarin, Tamoul

Quelques mots :

Merci = terima kasih

De rien = sama sama (et oui Laetitia, comme nous avons dû avoir l'air ridicules à dire ''de rien'' à tout le monde en croyant dire merci !)

Non = tidak

Oui = Ya

Bonjour = Selamat Pagi (avant 12h), Selamat Siang (entre 12 et 15h), Selamat Sore (entre 15 et 18h), Selamat Malam (après 18h)... Mais sinon, un bon vieux Hello peut tout aussi bien faire l'affaire.

Je m'appelle Yves = Nama saya Yves

NIGHT LIFE

Rarement, sauf à KL et sur quelques plages des îles ... La Malaisie est un pays musulman, donc l'alcool est cher. En gros, ce sont plutôt des vacances sages quand on va en Malaisie.

TECHNIQUE

- Internet souvent, débit plus ou moins rapide selon l'endroit où on se trouve. Sur les îles, la connexion est plus chère et plus lente. WI-Fi fréquent à KL

- On peut graver des CD et DVD dans les grandes villes

- Prises électriques : il faut un adaptateur 3 branches



LES PHOTOS DE LA MALAISIE


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